Mes très sincères condoléances à Sylvie, Hélène et Michel, ainsi qu’à leurs conjoints (es) et enfants. Je garde de beaux souvenirs de Tante Rita, les Noëls, les sejours où elle m’a gardé et ses délicieuses galettes. Je penserai à vous le 3 mai. Repose en paix Tante Rita.

Nous offrons nos sincères condoléances à toute votre famille, particulièrement à celle de Lise.

Repose en paix ma maraine.Je garde que de bons souvenirs de toi.Mes sympathies à Sylvie,Hélène et Michel.Vos conjoints,conjointe ainsi que vos enfants.Et toutes mes oncles et tantes.

François se joint à moi pour vous offrir toutes nos condoléances en ces temps difficiles, un câlin spécial à Lise, ma tante. Francine, file d’Yves Dion

Bonjour à toute la famille Jones. C'est avec tristesse que je vous écris aujourd'hui afin de vous remettre mes plus sincères sympathies. J'ai vraiment de très beaux souvenirs de tante Rita. Elle était très gentille et douce, souriante et aimable. Je l'aimais beaucoup et j'ai de très beaux souvenirs d'elle, tout particulièrement lorsque nous étions jeunes, les dimanches après-midi chez grand-maman Angéline! Que de beaux moments remplis de réjouissances et de rigolades. Tante Rita s'en est allée, elle est maintenant avec son amour Lucien Jones.

Nous sommes très attristés par ce décès et nous partageons la douleur que vous ressentez aujourd hui. Nos meilleures pensées et nos prières vous accompagnent.

Nous sommes très attristés par ce décès et nous partageons la douleur que vous ressentez aujourd hui. Nos meilleures pensées et nos prières vous accompagnent.

Mes très chères cousines, Sylvie et Hélène, et mon très cher cousin Michel, votre cousin Alain qui vous aime beaucoup tiens à vous offrir mes plus sincères condoléances pour le départ de notre bien-aimé, ma tante Rita dont je garderai toujours le plus beau des souvenirs. Je ne peux pas imaginer un être humain aussi souriante que elle; une personne aussi positive envers toutes les épreuves que nous pouvons vivre dans notre vie et qui tourne tout au “vaut mieux en rire qu’en pleurer ! L’avant dernière fois que je l’ai vu à sa résidence avec maman, mon cousin ricaneur, Michel, était présent. J’en garde un très bon souvenir du succès des photos de sa dernière récolte. Tout un cultivateur mon cher cousin, Michel. C’est un cas de serre, pis ça presse ! Enfin, tout cela pour vous dire que la toute dernière fois que j’ai eu l’occasion d’appeler ma tante Rita, c’est suite à une discussion avec mon oncle Maurice à l’automne dernier, en 2023. Il s’est mis à me parler, pour la toute première fois, que lors de l’accident de son jeune frère Charles avec l’huile de graisse de beigne, alors qu’il n’avait que 4-5 ans - pauvre ti pette - André, Paul, Maurice et Lise avait été placé en pension à Dufargie, pour donner une chance à grand-maman Angéline, de pouvoir s’occuper de son enfant très blessé et qui demandait beaucoup de soin. Et bien entendu, le temps pour s’occuper du reste de sa très grande familles. Je ne sais pas si vous savez, mais à cette époque, Dufargie était reconnu pour être l’endroit où les enfants étaient mis en attente pour adoption. Maurice m’avait raconter que son frère Paul, s’était même évader, une fin de semaine, car sœur Angèle ne l’avait pas bercer et il s'ennuyait de sa famille. Mais c’est quoi le rapport avec votre mère, ben c’est quand j’ai demander à Maurice plus de détails, comme quel âge que vous aviez et combien d’année vous êtes rester pensionnaires à Dufargie que Maurice m’a dit : “Alain, j’ai une bonne mémoire, mais j’étais trop jeune pour me souvenir de ces détails là. Appelles Rita, elle va te le dire. Ben je vous le jure sur la tête de mon oncle Ti-Lus, elle m’a répondu du tac au tac. “Alain, c’est ben sur que j’men souviens. C’est exactement l’année ou papa m’a sortit de l’école pour aider ma mère. Il aurait ben pu sortir Pierrette car RIEN y rentrait dans la tête et moi j’aimais étudier. J’étais très bonne à l’école.. Enfin, je ne m’éterniserai pas sur le sujet car depuis mon trop long discours à l’automne 2009, depuis les funérailles de mon très cher oncle Dédé, j’ai été expulsé à vie, barré de toutes les Églises et EXCOMMUNIÉ ! Je vais donc terminer sur ceci. Est-ce que ma tante Rita adorée a vécu une belle vie ? Ben moi je dirais que dans l’ensemble, elle a malgré tout, vécu une très belle vie. Elle a eu un mariage d’AMOUR qui lui à donner trois beaux enfants qu’elle aimait et dont elle à toujours été très fière. Elle a eu plusieurs petits enfants qui lui ont donner beaucoup de bonheur suite au décès de son époux, mon oncle Ti-Lus. Et elle a connu la chance, sans le vouloir, de prendre la place au Condo de mon défunt père, ti-Guy, en Floride ! Pendant plusieurs années, votre mère a vécu la même vie, l’hiver en Floride, que sa plus jeune sœur veuve, Colette. C’était son destin jusqu’à ce qu’elle ne soit plus capable physiquement d’y aller. Je termine donc sur ceci : Qui peut rester vivre seule et indépendante dans son logement jusqu’à presque l’âge de 94 ans ? On parle donc, pas rendu aux couches pendant plusieurs années dans une résidence pour personne alitée jusqu’à leur fin de vie. Sûrement que les dernières semaines ont été difficiles pour elle et ses proches qui l’aiment. Sûrement que ces derniers jours et ses derniers souffles ont été interminables et insupportables pour ses enfants et ses petits-enfants. Mais à la fin, sachez que votre mère est rendue bien-heureuse et que vous devriez tous en être très fière et célébrer sa vie. Alain

Nos sincères sympathies et prières aux enfants de Rita Grenier et à la grande famille des frères et sœurs Grenier. Nous avons le souvenir d'une personne généreuse et souriante. Lise Dion et Robert De Rico

Bonjour Sylvie, Je t'offre mes plus sincères condoléances. Perdre notre mère, peu importe notre âge, c'est perdre une tendre amie, une personne très chère qui nous connaît très très bien et avec laquelle nous avons partagé tant de choses. Une partie de notre vie s'envole. Mais la vie est ainsi faite et on n'y peut rien. Je t'embrasse et j'offre mes condoléances à toute ta famille également.

Nos profondes condoléances à Denis et à toute la grande famille Grenier.